Nous sommes, Maxime et moi, profondément habités par l’envie d’agir face aux catastrophes qu’est en train de subir l’environnement. Catastrophes climatiques, avec des glaciers, des banquises qui fondent bien trop vite, avec des inondations, des sécheresses, des tsunamis, des ouragans plus forts, plus imprévisibles, plus fréquents. Catastrophes écologiques avec 50 % des espèces vivantes qui ont disparues dans les 40 dernières années [1], avec des milliers d’hectares de forêts brûlés chaque année pour l’élevage [2], avec des braconnages des espèces protégées comme les baleines ou les rhinocéros, avec des espèces invasives ou des maladies qui impactent des écosystèmes entiers à cause d’une mondialisation des transports de marchandise, comme la renoué du Japon, la pyrale du buis ou le frelon asiatique. Pourtant, nous sommes désemparés. Comment agir de manière efficace ? Car il s’agit d’être rapides : Nous avons peut-être déjà franchi le point de non-retour…
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